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Zeiss, partenaire d’Athletics 3D, met de l’industrie 4.0 dans le sport

ZEISS

par Equip'Prod

Clément Jacquelin, ex-champion du monde de biathlon en 2009 et fondateur d’Athletics 3D Lab Sport & Industrie 4.0, va officialiser le 18 février, au Forum de la Cité des sciences, un partenariat avec Zeiss à l’occasion des Jeux Olympiques et de la course de Biathlon. Cette collaboration porte sur une crosse novatrice à partir de la technologie 3D.

On peut être à la fois champion du monde, ingénieur et entrepreneur. La preuve avec Clément Jacquelin qui a conçu un objet innovant en école d’ingénieur pour donner naissance à la toute première crosse mondiale 100% sur-mesure issue des technologies 3D. L’ingénieur, en s’entourant d’experts et de chercheurs partageant la même vision de progrès que la sienne, va réaliser le rêve d’équiper les deux plus grandes légendes du biathlon mondial : l’athlète le plus titré des Jeux Olympiques d’hiver toutes disciplines confondues, le norvégien Ole Einar Bjoerndalen, et le futur ­porte-drapeau français Martin Fourcade.

Pourquoi Zeiss ?

Zeiss, équipant déjà les athlètes lors des grandes compétitions internationales de Biathlon avec les longues-vues, la rencontre entre Clément Jacquelin et l’équipe de Zeiss Métrologie ­Industrielle France s’est faite tout naturellement et indépendamment. À l’écoute des besoins des industriels, le spécialiste des solutions de métrologie lui a proposé un prêt de matériel pour aider à l’avancement du projet, notamment sur le thème de l’ultra-personnalisation des carabines pour les athlètes.


Le choix s’est très vite porté sur le Zeiss Comet L3D 2, un Scanner 3D par lumière structurée pour assurer une haute qualité de données collectées sur les sites de pratique. « Mobile, ce moyen industriel de très haute qualité permet à Athletics 3D de démarrer son programme Sport 4.E en élaborant des démarches de haut niveau au plus près des sites d’entraînement des athlètes ». Il fera également l’objet d’une élaboration de méthodes rapides et répétables à l’infini dans le cadre d’une dynamique d’industriel 4.0.

 N° 95 janvier 2018