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            Remettre l'industrie sur les rails de l'investissement et des technologies 4.0

            12 septembre, 2020
            n°122ALLIANCE POUR L’INDUSTRIE DU FUTURDossier Industrie 4.0

            Face à la crise qui sévit sur l’industrie, l’Alliance Industrie du Futur poursuit ses projets et continue de labelliser de nouvelles « vitrines », ces entreprises modèles dans la mise en œuvre réussie de solutions « 4.0 ». Mais comment l’alliance voit-elle l’avenir ? Réponse avec son président, Bruno Grandjean. 

            Alliance—photo-1
            Bruno Grandjean (©Christian Morel)
            Alliance—photo-2
            Photo : Universal Robot
            Avant que ne soit énoncé début septembre le plan de relance, étiez-vous déjà satisfait des mesures prises par le gouvernement ?

            Dans l’ensemble, oui. Les mesures de PGE et de chômage partiel ont été prises au bon moment et plutôt bien dimensionnées, en ce qui concerne l’industrie du moins. En somme, le gouvernement a mis en place une médecine d’urgence même si, en matière de chômage partiel, nous rencontrons quelques abus. Contrairement à la crise de 2008, la réponse a été rapide et adaptée.

            Le plan de relance est-il, selon vous, favorable à l’industrie ?

            Globalement, l’industrie a été entendue. Cela se traduit notamment par la baisse de 4 milliards d’euros d’impôts de production, soit près de 100 000 € par usine (sur un total d’environ 40 000 usines). Aussi, les PME et les ETI vont bénéficier de mesures fiscales très favorables et l’activité partielle de longue durée est plutôt bien calibrée. Enfin, en matière de conversion et de transformation des PGE en fonds propres (ou « quasi » fonds propres), elles misent sur l’avenir en réengageant la dynamique d’investissement. L’enjeu concerne près de 3 milliards d’euros de fonds propres que vont générer les quelques 10 milliards d’euros de prêts à longue durée. Enfin, nous saluons la volonté du gouvernement de mettre le paquet sur certains secteurs technologiques, à commencer par l’hydrogène. Cependant, nous regrettons que, mises à part les baisses d’impôts, ces mesures ne sont pas détaillées. De plus, les sommes engagées semblent être un peu sous-calibrées et ne seront disponibles qu’à partir de 2021-2022, ce qui nous paraît trop lointain. Or, nous avons besoin de muscler ce dispositif le plus vite possible.

            D’autres mesures devraient-elles suivre ?

            Oui, comme le retour du sur-amortissement transformé en subventions, de l’ordre de 200 millions d’euros sur trois ans. Cette mesure permettrait de réduire les coûts d’investissement de 10 à 20% notamment dans les technologies d’industrie du futur. Toutefois, elle reste modeste au regard de celles relatives aux fonds propres.

            Ce plan tend à favoriser l’investissement. Qu’en est-il plus particulièrement pour les nouvelles technologies ?

            Pour l’AIF, le message est clair : le numérique sort renforcé de la crise. Beaucoup d’entreprises ont découvert la vente en ligne, les machines intelligentes, les objets connectés, ou encore la signature électronique, la maintenance à distance sans oublier les jumeaux numériques… Et beaucoup de ses projets prévus à long terme sont devenus des réalités par la force des choses. De ce point de vue, l’AIF sort confortée du confinement et est encore plus confiante.

            Est-ce le message que veulent donner les vitrines ?

            Tout à fait. Les vitrines permettent de mettre en valeur les champions qui ont su mettre à profit le numérique, soit pour gagner en compétitivité et en productivité, soit pour gagner en parts de marché. 

            Quels sont vos projets ?

            Nous allons continuer de travailler avec le gouvernement, lequel est particulièrement à l’écoute, notamment en la personne d’Agnès ­Pannier-Runacher. Au-delà de la mise en réseau des différents acteurs de l’industrie (notamment à travers la création d’un Web-café chaque mercredi), nous affichons clairement notre volonté de recréer une filière dédiée aux biens d’équipement. Il s’agit d’un projet très concret qui verra le jour avant la fin de l’année et mettra en scène des entreprises françaises clés telles que Fives, Stäubli, Sepro ou encore ­Dassault Système. L’objectif étant de maîtriser et favoriser la production de machines intelligentes, de robots, d’IoT et d’équipements mais également les compétences et les composants nécessaires pour gagner en souveraineté, notamment dans la fabrication de masques, de batteries et de piles à combustible par exemple, ou encore de technologies solaires… 

             

            EQUIPPROD • N°122 Septembre 2020

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